« Les hommes ne doivent pas blâmer Dieu pour des maux résultant naturellement de la vie qu’ils ont choisi de vivre ; ils ne devraient pas non plus se plaindre des expériences qui font partie de la vie telle qu’elle est vécue sur ce monde. Le Père veut que les mortels travaillent avec persévérance et logique au perfectionnement de leur état sur terre. Une application intelligente devrait permettre aux hommes de triompher d’une grande partie de leurs misères sur terre. » [LU, 148:5.3]
« La foi — l’affirmation suprême de la pensée humaine — est-elle désirable ? Alors, il faut que le mental de l’homme se retrouve dans cette situation embarrassante où il en sait toujours moins que ce qu’il peut croire.
L’amour de la vérité — avec l’acceptation de la suivre où qu’elle vous conduise — est-il désirable ? Alors, il faut que l’homme croisse dans un monde où l’erreur est présente et la fausseté toujours possible. » [LU, 3:5.9]
Ajusteur de Pensée : « Le Père a un parti pris de 100 % envers la bonté, car le mal n’a pas de place dans Sa conscience. Son trompe-l’œil peut en duper plus d’un. Cependant, il est condamné à s’engloutir dans les sables mouvants de ses mensonges et de ses tromperies dès que rien d’autre que la vérité n’attire l’attention collective de son bluff irrévérencieux.
« Être grand, c’est être semblable à Dieu. Et, puisque la qualité de grandeur est entièrement déterminée par le contenu de bonté, il s’ensuit que, même dans votre présent état humain, si par grâce vous pouvez devenir bon, vous devenez grand par là même. » [LU, 28:6.22]
Ajusteur de Pensée : « Dieu est la quintessence de la grandeur parce qu’Il est la quintessence de la bonté. Comment peut-on imiter une telle indescriptible grandeur ? Par le chemin de la bonté – en faisant du bien à tous, sans distinction et avec magnanimité.
« La loyauté – la dévotion au devoir supérieur – est-elle désirable ? Alors, il faut que l’homme poursuive son chemin parmi les possibilités de trahison et de désertion. La valeur de la dévotion au devoir implique le danger qui résulterait d’une défaillance. » [LU, 3 :5.12]
« Vous n’avez pas besoin d’avoir le même point de vue, les mêmes sentiments, ni même des pensées semblables, pour être spirituellement semblables. L’unité spirituelle dérive de la conscience que chacun de vous est habité, et de plus en plus dominé, par le don d’esprit du Père céleste. Votre harmonie apostolique doit naître du fait que l’espoir spirituel de chacun de vous est identique par son origine, sa nature et sa destinée. » [LU, 141:5:1]