Ajusteur de Pensée : « Il arrive parfois que tu sois déconcertée par ce qui se produit dans ta vie personnelle à la suite d'interactions complexes avec autrui. Tu te sens alors hors de ton champ de compétence et il se pourrait bien que ce soit le cas. Tu te demandes quoi faire en de telles circonstances et tu sollicites Mon apport.

Lorsque vous donnez vos 100%, Dieu compense ce qu’il manque. Ayez confiance en ce processus. Ce qui compte, c’est de tout donner, sans retenue. Donnez-le comme une offrande au Divin – en tant que votre contribution au fonds cosmique. Remettez le reste à la discrétion du sage Administrateur d’un fonds de fiducie aussi précieux.

C’est la meilleure façon d’agir chaque fois que vous arrivez à bout de forces. Vous êtes, et serez toujours, un enfant de vos Progéniteurs divins. Les parents ne s’attendent certainement pas à l’impossible de la part de leurs enfants en évolution. Leurs attentes sont proportionnelles à la courbe d’apprentissage de l’enfant – rien de plus, rien de moins.

Il en va de même pour vos Parents spirituels. Ils observent la façon dont vous naviguez à travers les épreuves de votre vie et vous tendent la main lorsque votre fardeau est trop lourd à porter par vous-même. Cela constitue le point d’entrée de ce que vous pourriez appeler des miracles. Qu’est-ce qui se trouve derrière la porte sur laquelle vous cognez à deux poings? Vos appels à l’aide sont-ils entendus? Vos larmes sont-elles reconnues?

Vous êtes un être évolutionnaire et chaque jour contribue à ce processus de croissance personnelle, apportant une abondance de séances d’entraînement. Chaque jour peut servir de répétition pour le lendemain, et le surlendemain, jusqu’à ce que vous soyez prêt pour un spectacle public – pour servir de manière altruiste avec les nouvelles compétences que vous avez affinées au cours de ce fastidieux processus, devenant ainsi un authentique serviteur civil.

N’abandonnez pas ! Ne renoncez pas à cette formidable coproduction ! Vous avez un rôle modeste, mais important à y jouer. »

Traduction française :  David Charbonneau et Agnès Spencer.