Ajusteur de Pensée : « La pensée t’est venue à l’esprit que, tout comme vous naissez en tant que bébés dans le Royaume des Hommes, vous devez naître en tant qu’enfants spirituels pour entrer dans le Royaume des Cieux qui se trouve en vous. Prenez un moment pour réfléchir à ce fait.

Vous naissez dans une famille et le processus d'accouchement est le niveau d'entrée à toute nouvelle expérience. Vous devez être ‘initiée’ en toutes choses, car l'acquisition d'expertise se produit au fil du temps - plus ou moins rapidement, selon vos capacités innées. C'est pourquoi votre vie dans ce monde et dans l’au-delà est, et sera, une succession de puissantes expériences de renaissance - pour toujours renouveler les vieilles cellules.

En effet, la stagnation est de s’accrocher à l’ancien et plus vous le faites, plus il devient obsolète et que vous perdez le contact avec la réalité, car elle change et évolue constamment.

Renaître implique de renouer avec votre innocence et humilité enfantines. C'est pourquoi Jésus a affirmé : « En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. » Une telle renaissance vous donne une vision spirituelle et impacte complètement votre expérience humaine.

Les enfants sont attachants. Ils sont curieux et idéalistes. Chers amis, revenez à vos racines en exprimant votre désir de renaître à chaque moment. C'est une pratique puissante, car elle vous permet d’éviter rapidement toute expérience qui est sans valeur éternelle. Pourquoi amasser avidement ces possessions sans valeur ? Alors que vous renaissez en tant qu’enfant du Royaume, beaucoup de précieuses bénédictions vous sont accordées en tant que cadeaux de bienvenue dans la famille.

Examinez l'histoire de votre vie et identifiez les nombreux moments où vous avez lâché le vieux ‘vous’, pour donner une chance à une meilleure version de vous-mêmes. En fait, votre épiderme spirituel doit se renouveler sans cesse afin de vous garder spirituellement jeune et dynamique. »

Traduction française : Jean-Guy P. et Agnès Spencer