Ajusteur de Pensée : « Sachant que Dieu est Amour et Compassion et que de tels attributs du cœur sont également hérités par Ses Représentants - le Fils et le Saint-Esprit - vous pouvez être assurés que la douleur et la souffrance de l'humanité ne sont pas ignorées ou négligées comme non pertinentes. Un cœur aimant est un cœur attentionné. Un cœur attentionné fait de son mieux pour remédier à tout état de souffrance. Il n'est jamais indifférent.

Beaucoup d’humains se sentent séparés du Père Céleste et ne voient que la perturbation planétaire causée par les effets secondaires de la Rébellion de Lucifer, ce qui les fait sombrer dans la dépression spirituelle et / ou en arriver à la conclusion erronée que le Père céleste est distant et déconnecté de leurs terribles difficultés humaines.

C’est une perception erronée de la Réalité Céleste et de Sa Conscience omnisciente qui englobe tout. Le progrès planétaire est un processus évolutif, tout comme la guérison d'une maladie se produit graduellement la plupart du temps. En effet, il faut du temps pour remettre en parfait état ce qui été soumis à l'usure des millénaires de dysfonctionnement et de déséquilibre.

Il en va de même pour votre croissance personnelle. Vous êtes conscients de vos zones faibles ou malades et pourtant, vous savez que vous ne pouvez pas être « réparés » du jour au lendemain, car vous n’êtes pas actuellement conscients des nombreux outils efficaces pour le faire. Cependant, en « voulant » guérir, vous établissez une intention puissante qui a des pouvoirs magnétiques et qui attirera chez vous des événements, des circonstances ou des individus qui feront partie de votre solution.

Remplacez tout doute dans votre cœur par la foi en des jours meilleurs. Vous êtes en route vers le Paradis. Le fait même que c'est votre destination spirituelle devrait élever votre esprit. Le Père ne fait pas de promesses vides. Faites confiance en Sa Parole et vous vivrez une vie valable, remplie de mises à jour significatives et positives. »

Traduction française : Jean-Guy P. et Agnès Spencer